Le portrait de Rebecca Herzbrun
Psychologue clinicienne
Installée en libéral depuis 2014, j’ai toujours eu à cœur d’associer une pratique institutionnelle à ma pratique libérale. J’ai eu la chance d’exercer à l’hôpital pendant 7 ans, puis, après l’ouverture de mon cabinet en 2014, auprès des MIE, en ACT, et enfin en AME.
Je me suis épanouie dans cette clinique de « l’aller vers », signifiant la nécessité pour le praticien de ne pas tout attendre du patient, mais d’aller lui aussi chercher, oser la rencontre. Aujourd’hui, ma pratique clinique reste marquée par ce format dynamique, où l’échange et l’interaction sont les socles du cheminement.
M’engager auprès des publics dits précaires a également été fondamental, afin de ne pas m’isoler dans une tour dorée de cabinet privé. Par ailleurs, le travail en équipe permet une réflexion commune, un sens de la solidarité partagée. Des valeurs essentielles à mes yeux, que je garde tout près de moi lors de chaque rencontre au cabinet.
Lors du travail, j’accompagne les personnes dans leur globalité. J’écoute les signaux d’appel de leur inconscient, les messages de leur corps, leurs besoins au-delà de celui de parler.
Je fais le choix aujourd’hui de suspendre mon investissement dans une pratique institutionnelle puisque l’engagement auprès de ma vie de famille est devenu prioritaire. Et la diversité des rencontres de l’activité libérale se montre suffisamment exigeante pour combler mes aspirations professionnelles.
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La mission de Rebecca
Animée par la curiosité de la rencontre, je me sens honorée de pouvoir accompagner les parcours de vie des personnes qui font le choix de venir travailler avec moi.
La dynamique est un mot récurrent au sein de mon cabinet : dynamique parce que tout bouge, tout le temps, et que j’ai une confiance profonde en ce que l’humain.e peut faire bouger en lui, de lui. Dynamique parce que chaque accompagnement m’enrichit et me permet de grandir. Les patient.es m’apprennent au quotidien, et c’est ce qui fait la richesse inouïe de ce métier.
Il me tient à cœur de pouvoir accueillir qui en ressent le besoin. Aussi, la question financière est abordée lors de chaque premier entretien.
Mon engagement au 6B tend à recréer, retrouver cette dynamique institutionnelle, collective, qui me parle tant. Ainsi, en nous engageant toutes et tous dans une perspective de prendre soin global, le travail psychothérapeutique confirme être un espace de lien, de partage, selon les aspirations et besoins de chacun.e.
« L’inconscient se laisse duper, mais il n’est pas dupe. »
Rencontrer Rebecca
Si vous souhaitez faire connaissance, le mieux sera de convenir d’un rendez-vous par téléphone, que je m’engage à vous proposer au plus vite, dans les limites de mes possibilités d’accueil.
À bientôt.